Samedi 30 novembre 2019, Coumba Haïdara, la mère du défunt pose dans le salon de sa maison à Kati, non loin de Bamako avec les photos de son fils, le gendarme Salif Diakité Koné, tué le 1er juillet 2016 à Ménaka.
Samedi 30 novembre 2019, Coumba Haïdara, la mère du défunt pose dans le salon de sa maison à Kati, non loin de Bamako avec les photos de son fils, le gendarme Salif Diakité Koné, tué le 1er juillet 2016 à Ménaka.
Samedi 30 novembre 2019, Coumba Haïdara, la mère du défunt pose dans le salon de sa maison à Kati, non loin de Bamako avec les photos de son fils, le gendarme Salif Diakité Koné, tué le 1er juillet 2016 à Ménaka.
Samedi 30 novembre 2019, Coumba Haïdara, la mère du défunt pose dans le salon de sa maison à Kati, non loin de Bamako avec les photos de son fils, le gendarme Salif Diakité Koné, tué le 1er juillet 2016 à Ménaka.
Samedi 30 novembre 2019, Coumba Haïdara, la mère du défunt pose dans le salon de sa maison à Kati, non loin de Bamako avec les photos de son fils, le gendarme Salif Diakité Koné, tué le 1er juillet 2016 à Ménaka.
Samedi 30 novembre 2019, Coumba Haïdara, la mère du défunt pose dans le salon de sa maison à Kati, non loin de Bamako avec les photos de son fils, le gendarme Salif Diakité Koné, tué le 1er juillet 2016 à Ménaka.
Samedi 30 novembre 2019, Coumba Haïdara, la mère du défunt pose dans le salon de sa maison à Kati, non loin de Bamako avec les photos de son fils, le gendarme Salif Diakité Koné, tué le 1er juillet 2016 à Ménaka.
Le 30 novembre 2019, les 6 frères et soeurs du 2ème Canonnier Servant Tireur (CST), Kaama Ongoiba, matricule 48861 de la 363ème Batterie d'Artillerie décédé le 25 janvier 2017 suite à une attaque à Simby posent dans le salon de leur maison à Kati (Bamako). Daouda Ongoiba, l'un des frères tient dans ses mains la lettre de condoléances.
Le 30 novembre 2019, les 6 frères et soeurs du 2ème Canonnier Servant Tireur (CST), Kaama Ongoiba, matricule 48861 de la 363ème Batterie d'Artillerie décédé le 25 janvier 2017 suite à une attaque à Simby posent dans le salon de leur maison à Kati (Bamako). Daouda Ongoiba, l'un des frères tient dans ses mains la lettre de condoléances.
Le 30 novembre 2019, les 6 frères et soeurs du 2ème Canonnier Servant Tireur (CST), Kaama Ongoiba, matricule 48861 de la 363ème Batterie d'Artillerie décédé le 25 janvier 2017 suite à une attaque à Simby, posent dans le salon de leur maison à Kati (Bamako). Sur la table, avec l'insigne FA.Ma (Forces Armées Maliennes), la lettre de condoléances annonçant le décès de leur frère.
Le 30 novembre 2019, Boubacar Ongoïba, l'un des frères pose dans le salon de leur maison à Kati, avec dans sa main la lettre de condoléances annonçant le décès de son frère, le 2ème Canonnier Servant Tireur (CST), Kaama Ongoiba, matricule 48861 de la 363ème Batterie d'Artillerie décédé le 25 janvier 2017 suite à une attaque à Simby.
Le 30 novembre 2019, Boubacar Ongoïba, l'un des frères pose dans le salon de leur maison à Kati, avec dans sa main la lettre de condoléances annonçant le décès de son frère, le 2ème Canonnier Servant Tireur (CST), Kaama Ongoiba, matricule 48861 de la 363ème Batterie d'Artillerie décédé le 25 janvier 2017 suite à une attaque à Simby.
Mahamadou Sissoko a été tué à Dinangourou en 2019. Son père, Madiheri Sissoko (photo) est ici en train de prier dans le salon pendant notre visite dans sa maison de Kati le 30 novembre 2019.
Mahamadou Sissoko a été tué à Dinangourou en 2019. Son père, Madiheri Sissoko teint ici dans sa main une photo de son fils sur le téléphone d'un ami de la famille.
Mahamadou Sissoko a été tué à Dinangourou en 2019. Son père, Madiheri Sissoko teint ici dans sa main une photo de son fils sur le téléphone d'un ami de la famille.
Kati (Bamako), le 30 novembre 2019. Mahamadou Sissoko a été tué à Dinangourou en 2019. Son père, Madiheri Sissoko pose ici dans le salon de leur maison.
Kati (Bamako), le 30 novembre 2019. Mahamadou Sissoko a été tué à Dinangourou en 2019. Son père, Madiheri Sissoko pose ici dans le salon de leur maison.
Kati (Bamako), le 30 novembre 2019. Mahamadou Sissoko a été tué à Dinangourou en 2019. Son père, Madiheri Sissoko pose ici dans le salon de leur maison.
Fata Ousmane Maiga (25ans) et sa fille Rokiatou Keita (3ans) pose dans le salon de leur maison à Kati avec une photo du papa, Mohamed Keita, décédé le 7 mai 2017 à Almoustarat (Gao). Il n'a jamais connu sa petite fille.
Fata Ousmane Maiga (25ans) et sa fille Rokiatou Keita (3ans) pose dans le salon de leur maison à Kati avec une photo du papa, Mohamed Keita, décédé le 7 mai 2017 à Almoustarat (Gao). Il n'a jamais connu sa petite fille.
Fata Ousmane Maiga (25ans) et sa fille Rokiatou Keita (3ans) pose dans le salon de leur maison à Kati avec une photo du papa, Mohamed Keita, décédé le 7 mai 2017 à Almoustarat (Gao). Il n'a jamais connu sa petite fille.
Fata Ousmane Maiga (25ans) et sa fille Rokiatou Keita (3ans) pose dans le salon de leur maison à Kati avec une photo du papa, Mohamed Keita, décédé le 7 mai 2017 à Almoustarat (Gao). Il n'a jamais connu sa petite fille.
Fata Ousmane Maiga (25ans) et sa fille Rokiatou Keita (3ans) pose dans le salon de leur maison à Kati avec une photo du papa, Mohamed Keita, décédé le 7 mai 2017 à Almoustarat (Gao). Il n'a jamais connu sa petite fille.
Fata Ousmane Maiga (25ans) et sa fille Rokiatou Keita (3ans) pose dans le salon de leur maison à Kati avec une photo du papa, Mohamed Keita, décédé le 7 mai 2017 à Almoustarat (Gao). Il n'a jamais connu sa petite fille.
Fata Ousmane Maiga (25ans) et sa fille Rokiatou Keita (3ans) pose dans le salon de leur maison à Kati avec une photo du papa, Mohamed Keita, décédé le 7 mai 2017 à Almoustarat (Gao). Il n'a jamais connu sa petite fille.
Fata Ousmane Maiga (25ans) et sa fille Rokiatou Keita (3ans) pose dans le salon de leur maison à Kati avec une photo du papa, Mohamed Keita, décédé le 7 mai 2017 à Almoustarat (Gao). Il n'a jamais connu sa petite fille.
Fata Ousmane Maiga (25ans) et sa fille Rokiatou Keita (3ans) pose dans le salon de leur maison à Kati avec une photo du papa, Mohamed Keita, décédé le 7 mai 2017 à Almoustarat (Gao). Il n'a jamais connu sa petite fille.
Fata Ousmane Maiga (25ans) et sa fille Rokiatou Keita (3ans) pose dans le salon de leur maison à Kati avec une photo du papa, Mohamed Keita, décédé le 7 mai 2017 à Almoustarat (Gao). Il n'a jamais connu sa petite fille.
Fata Ousmane Maiga (25ans) et sa fille Rokiatou Keita (3ans) dans la cour de leur maison à Kati avec un album photo entre les mains. Son mari, Mohamed Keita est décédé le 7 mai 2017 à Almoustarat (Gao). Il n'a jamais connu sa petite fille.
Fata Ousmane Maiga (25ans) et sa fille Rokiatou Keita (3ans) pose dans le salon de leur maison à Kati avec une photo du papa, Mohamed Keita, décédé le 7 mai 2017 à Almoustarat (Gao). Il n'a jamais connu sa petite fille.
Kati (Bamako), le 1 décembre 2019. Amadou Coulibaly a été tué le 1er novembre 2019 lors de l'attaque du camp d'Indelimane (Menaka). Sa grand-mère, Yayi Traoré pose ici dans sa chambre avec le téléphone d'un frère d'Amadou sur lequel il conserve quelques rares photos.
Kati (Bamako), le 1 décembre 2019. Amadou Coulibaly a été tué le 1er novembre 2019 lors de l'attaque du camp d'Indelimane (Menaka). Sa grand-mère, Yayi Traoré pose ici dans sa chambre avec le téléphone d'un frère d'Amadou sur lequel il conserve quelques rares photos.
Kati (Bamako), le 1 décembre 2019. Amadou Coulibaly a été tué le 1er novembre 2019 lors de l'attaque du camp d'Indelimane (Menaka). Sa grand-mère, Yayi Traoré pose ici dans sa chambre avec le téléphone d'un frère d'Amadou sur lequel il conserve quelques rares photos.
Kati (Bamako), le 1 décembre 2019. Amadou Coulibaly a été tué le 1er novembre 2019 lors de l'attaque du camp d'Indelimane (Menaka). Sa grand-mère, Yayi Traoré pose ici dans sa chambre avec le téléphone d'un frère d'Amadou sur lequel il conserve quelques rares photos.
Kati (Bamako), le 1 décembre 2019. Amadou Coulibaly a été tué le 1er novembre 2019 lors de l'attaque du camp d'Indelimane (Menaka). Sa grand-mère, Yayi Traoré pose ici dans sa chambre avec le téléphone d'un frère d'Amadou sur lequel il conserve quelques rares photos.
Kati (Bamako), le 1 décembre 2019. Amadou Coulibaly a été tué le 1er novembre 2019 lors de l'attaque du camp d'Indelimane (Menaka). Sa grand-mère, Yayi Traoré pose ici dans sa chambre avec le téléphone d'un frère d'Amadou sur lequel il conserve quelques rares photos.
Kati (Bamako), le 1 décembre 2019. Amadou Coulibaly a été tué le 1er novembre 2019 lors de l'attaque du camp d'Indelimane (Menaka). Sa grand-mère, Yayi Traoré pose ici dans sa chambre avec le téléphone d'un frère d'Amadou sur lequel il conserve quelques rares photos.
Kati (Bamako), le 1 décembre 2019. Amadou Coulibaly a été tué le 1er novembre 2019 lors de l'attaque du camp d'Indelimane (Menaka). Sa grand-mère, Yayi Traoré pose ici dans sa chambre avec le téléphone d'un frère d'Amadou sur lequel il conserve quelques rares photos.
Kati (Bamako), le 1 décembre 2019. Amadou Coulibaly a été tué le 1er novembre 2019 lors de l'attaque du camp d'Indelimane (Menaka). Sa grand-mère, Yayi Traoré pose ici dans sa chambre avec le téléphone d'un frère d'Amadou sur lequel il conserve quelques rares photos.